Développement de l’Aquaculture

[16 avril]
De nouvelles avancées et les ambitions de la filière aquacole en Nouvelle-Calédonie on été présentées lors d’une réunion vendredi à la ferme “𝘈𝘪𝘨𝘶𝘦 𝘔𝘢𝘳𝘪𝘯𝘦” de Michel Bull, située sur la commune de Boulouparis.
Au cours de cette réunion, les acteurs clé de cette filière, dont la CAP-NC représentée par son président Jean-Christophe Niautou et les élus Johan Kuhn, Patrick Forest et Christian Georget et son directeur Guylain de Coudenhove, Philippe Blaise Vice-Président de la province Sud en charge de l’agriculture, Christopher Gyges membre du Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie et chargé de l’économie de la mer, le Groupement des Fermes Aquacoles (GFA), la SOPAC , l’UPRA crevettes, le Haut -Commissariat, la Direction du Développement Durable des Territoires de la province Sud, la Direction du Développement Economique et de l’Environnement de la province Nord, l’Agence Rurale, Enercal, la CPS, la Banque Publique d’Investissement France, de banques calédoniennes et des techniciens de la CAP-NC…, ont discuté des opportunités qui s’offraient à l’industrie aquacole.
La production de crevettes, un produit d’exception, s’inscrit dans un marché ouvert et à la demande croissante, notamment dans le secteur de la restauration. En 2023, l’exportation a atteint 1200 tonnes pour environ 2.5 milliards de CFP, témoignant du fort potentiel commercial. 📈
Actuellement, 21 fermes génèrent environ 900 emplois directs et indirects, soulignant l’impact économique significatif de cette industrie. De plus, la filière s’engage à une utilisation raisonnée des intrants et à la transmission des connaissances.
La CAP-NC exprime sa volonté de soutenir activement le secteur aquacole en créant une commission dédiée et en abordant les enjeux sanitaires au sein du Groupe de Défense Sanitaire Animal (GDS-A). 🤝
Ensemble, nous visons à renforcer l’animation de cette filière et à aborder les défis transversaux tels que la fiscalité, la main-d’œuvre et les impacts du changement climatique. Cette rencontre vient marquer le début d’une nouvelle phase de développement pour l’aquaculture en Nouvelle-Calédonie, et nous sommes impatients d’y collaborer pour contribuer à son plein essor.

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